Ce plan, établi vers 1869, montre le château et son parc, appartenant alors au journaliste financier, Jean Baptiste Paradis (1827-1871). Ses aménagements, en particulier la grotte qui subsiste de nos jours, auraient été réalisés par le paysagiste du Bois de Boulogne, Louis-Sulpice Varé.
On peut remarquer la voie du chemin de fer, qui le longe déjà.
L'aspect de la partie de droite, qui semble déjà lotie, résulte vraisemblablement d'une superposition d'un plan de morcellement, ajouté lors du lotissement du parc.
Le plan